fme_871620 - ZWEITES KAISERREICH Médaille pour le graveur Jacques-Jean Barre
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Type : Médaille pour le graveur Jacques-Jean Barre
Datum: n.d.
Metall : Kupfer
Durchmesser : 59,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur BARRE Albert Désiré (1818-1878) / BARRE Jean-Auguste (1811-1896)
Gewicht : 117,54 g.
Rand lisse + main CUIVRE
Punze : main indicatrice (1845-1860) et CUIVRE
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Belle patine marron hétérogène, présentant quelques points d’usure sur les hauts reliefs du portrait. Quelques rayures au revers
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite ANÉPIGRAPHE.
Beschreibung Vorderseite Tête nue de Jacques Jean BARRE en haut relief à droite dans un grènetis.
Rückseite
Titulatur der Rückseite JACQUES JEAN / BARRE / GRAVEUR GÉNÉRAL / DES / MONNAIES / 3 AOUT 1793 / 10 JUIN 1855.
Beschreibung Rückseite Légende en 7 lignes horizontales.
Kommentare
Intéressante médaille en hommage au graveur Jacques-Jean Barre, réalisée par ses deux fils Auguste Barre et Désiré-Albert Barre.
Jacques-Jean Barre (né le 3 août 1793 à Paris et mort le 10 juin 1855 à Paris) est le 17e graveur général des monnaies à la Monnaie de Paris de 1842 à 1855. Il est le dessinateur et graveur des deux premières séries de timbres-poste de France, les types Cérès et à l'effigie de Napoléon III.
Son fils cadet, Désiré-Albert Barre (Paris 6 mai 1818-29 décembre 1878) lui succède à ce poste de Graveur général des monnaies. C'est à lui que l'on doit notamment la gravure des monnaies et des timbres du Second Empire à l'effigie de Napoléon III à tête laurée. Il est également le père de la médaille de Sainte-Hélène. Il rompt cependant avec Anatole Hulot en 1866.
Son fils ainé, Jean-Auguste Barre, sculpteur remarqué, et portraitiste attitré de la famille impériale, succède à son frère cadet en tant que Graveur général des monnaies en 1878 sous la IIIe République mais n'occupe cette fonction qu'une année..
Jacques-Jean Barre (né le 3 août 1793 à Paris et mort le 10 juin 1855 à Paris) est le 17e graveur général des monnaies à la Monnaie de Paris de 1842 à 1855. Il est le dessinateur et graveur des deux premières séries de timbres-poste de France, les types Cérès et à l'effigie de Napoléon III.
Son fils cadet, Désiré-Albert Barre (Paris 6 mai 1818-29 décembre 1878) lui succède à ce poste de Graveur général des monnaies. C'est à lui que l'on doit notamment la gravure des monnaies et des timbres du Second Empire à l'effigie de Napoléon III à tête laurée. Il est également le père de la médaille de Sainte-Hélène. Il rompt cependant avec Anatole Hulot en 1866.
Son fils ainé, Jean-Auguste Barre, sculpteur remarqué, et portraitiste attitré de la famille impériale, succède à son frère cadet en tant que Graveur général des monnaies en 1878 sous la IIIe République mais n'occupe cette fonction qu'une année..