fme_920707 - ZWEITES KAISERREICH Médaille de récompense, cours pour adultes
85.00 €
Menge
In den Warenkorb
Type : Médaille de récompense, cours pour adultes
Datum: 1868
Metall : Silber
Durchmesser : 45,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur BOVY Antoine (1795-1877)
Gewicht : 49,99 g.
Rand gravée : PRIX OFFERT PAR LE DEP.T DE L’AISNE, A M.R GAIN. INSTITUTEUR A DANZY + abeille ARGENT
Punze : abeille ARGENT
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Médaille ayant été nettoyée, présentant quelques coups et rayures, notamment au revers. Légère usure sur certains hauts reliefs
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite NAPOLÉON III - EMPEREUR.
Beschreibung Vorderseite Tête laurée à droite de Napoléon III, signé : BOY F..
Rückseite
Titulatur der Rückseite (FLEUR) DANS LE PAYS DU SUFFRAGE UNIVERSEL TOUT CITOYEN DOIT SAVOIR LIRE ET ÉCRIRE // CLASSES / D’ADULTES / - / PRIX / DECERNE / A L’INSTITUTEUR / 1868.
Beschreibung Rückseite Légende en 10 lignes horizontales et circulaire autour.
Kommentare
La médaille a été décernée à l’instituteur de Danzy, Monsieur Gain, en 1868.
Une phrase du discours de l'Empereur suscita quelque souci “Dans un pays de suffrage universel tout citoyen doit savoir lire et écrire.” C'était au ministre de l'instruction publique Duruy qu'il appartenait de réaliser ce desideratum, et cela ne lui était pas facile. Ses collègues le considéraient un peu comme un suspect. Quand il arrivait, les conversations politiques s'arrêtaient. Sa position eût été intenable sans l'appui constant de l'Empereur. Il avait la précaution de ne prononcer aucun discours sans le lui soumettre en épreuves, et aucun d'eux ne lui fût renvoyé avec une correction ou une rature..
Une phrase du discours de l'Empereur suscita quelque souci “Dans un pays de suffrage universel tout citoyen doit savoir lire et écrire.” C'était au ministre de l'instruction publique Duruy qu'il appartenait de réaliser ce desideratum, et cela ne lui était pas facile. Ses collègues le considéraient un peu comme un suspect. Quand il arrivait, les conversations politiques s'arrêtaient. Sa position eût été intenable sans l'appui constant de l'Empereur. Il avait la précaution de ne prononcer aucun discours sans le lui soumettre en épreuves, et aucun d'eux ne lui fût renvoyé avec une correction ou une rature..