fme_915902 - ZWEITES KAISERREICH Médaille, Cours pour adultes, offert par le député
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Type : Médaille, Cours pour adultes, offert par le député
Datum: 1868
Metall : Silber
Durchmesser : 50,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur OUDINÉ Eugène-André (1810-1887)
Gewicht : 64,05 g.
Rand lisse + abeille ARGENT
Punze : abeille ARGENT
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Médaille ayant été nettoyée, présentant de fines rayures dans les champs. Présence de plusieurs coups et rayures, notamment au revers
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite NAPOLÉON III - EMPEREUR.
Beschreibung Vorderseite Tête laurée à gauche de Napoléon III, signé : OUDINE.
Rückseite
Titulatur der Rückseite DANS LE PAYS DU SUFFRAGE UNIVERSEL TOUT CITOYEN DOIT SAVOIR LIRE ET ÉCRIRE // CLASSES D’ADULTES / - / PRIX OFFERT / PAR / M.R AYME / DEPUTE / DECERNE / A M.R DAVILLER / (JOSEPH) / INSTITUTEUR A COUSSEY / (VOSGES) / - / 1868.
Beschreibung Rückseite Légende circulaire et en 11 lignes horizontales.
Kommentare
La médaille a été décernée à Monsieur Joseph Daviller, instituteur à Poussey dans les Vosges.
Une phrase du discours de l'Empereur suscita quelque souci “Dans un pays de suffrage universel tout citoyen doit savoir lire et écrire.” C'était au ministre de l'instruction publique Duruy qu'il appartenait de réaliser ce desideratum, et cela ne lui était pas facile. Ses collègues le considéraient un peu comme un suspect. Quand il arrivait, les conversations politiques s'arrêtaient. Sa position eût été intenable sans l'appui constant de l'Empereur. Il avait la précaution de ne prononcer aucun discours sans le lui soumettre en épreuves, et aucun d'eux ne lui fût renvoyé avec une correction ou une rature..
Une phrase du discours de l'Empereur suscita quelque souci “Dans un pays de suffrage universel tout citoyen doit savoir lire et écrire.” C'était au ministre de l'instruction publique Duruy qu'il appartenait de réaliser ce desideratum, et cela ne lui était pas facile. Ses collègues le considéraient un peu comme un suspect. Quand il arrivait, les conversations politiques s'arrêtaient. Sa position eût été intenable sans l'appui constant de l'Empereur. Il avait la précaution de ne prononcer aucun discours sans le lui soumettre en épreuves, et aucun d'eux ne lui fût renvoyé avec une correction ou une rature..