fme_885660 - LUDWIG XVIII Médaille, Louis-Antoine d'Artois duc d'Angoulême, Présidence du collège électoral
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Type : Médaille, Louis-Antoine d'Artois duc d'Angoulême, Présidence du collège électoral
Datum: 1815
Name der Münzstätte / Stadt : 33 - Bordeaux
Metall : Kupfer
Durchmesser : 40,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur ANDRIEU Jean-Bertrand (1761-1822)
Gewicht : 36,81 g.
Rand lisse
Punze : sans poinçon
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine marron hétérogène, présentant quelques traces de manipulation et un aspect légèrement irisé. Petite usure sur les hauts reliefs du portrait. Quelques coups et petites rayures sur les bords de la tranche
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite LOUIS ANTOINE - DUC D’ANGOULEME.
Beschreibung Vorderseite Tête à gauche du Duc d’Angoulème, signé sur le tranché du cou : ANDRIEU F..
Rückseite
Titulatur der Rückseite S.A.R. PRESIDE LE COLLEGE ELECTORAL DE LA GIRONDE// SUR LA PLINTHE : ANDRIEU DE BORDEAUX FEGIT // AOUT MDCCCXV/ VOTE PAR LE C.E..
Beschreibung Rückseite Bureau et chaise, avec une urne et un encrier sur le bureau.
Kommentare
La Gironde est le nom donné à un groupe politique de la Révolution française qui fut majoritaire à l’Assemblée législative (en face des Montagnards) et à la Convention nationale, leurs députés étant issus de la région de Bordeaux.
Médaille signée ANDRIEU DE BORDEAUX REGIT sur la ligne d’exergue au revers, et ANDRIEU sur la base du cou au droit.
Louis-Antoine d’Artois, né le 6 août 1775 à Versailles, France, et mort à Görz, Autriche — actuellement Nova Gorica (Slovénie) — le 3 juin 1844, petit-fils de France et duc d’Angoulême (1775-1824), puis Louis-Antoine de France, dauphin de France (1824-1830) puis « comte de Marnes » (1830-1844), puis en 1836 Louis de France, est un prince de la maison royale de France, fils de Charles-Philippe de France, ce dernier étant comte d'Artois et le futur roi Charles X, et de Marie-Thérèse de Savoie.
Lors des événements de la révolution de Juillet (1830), peu après l’abdication de son père Charles X, il renonce lui-même à ses droits en faveur de son neveu Henri d'Artois. Il s’exile ensuite avec le titre de courtoisie de « comte de Marnes ». À la mort de son père (1836) jusqu'à son propre décès (1844), il devient l’aîné des Capétiens et le « chef de la maison de France », prétendant à la Couronne de France et reconnu comme roi par les légitimistes sous le nom de « Louis XIX ».
Parmi les distinctions militaires qui lui ont été données, le duc d’Angoulême était notamment colonel général des cuirassiers et dragons, grand-amiral de France et généralissime de l’armée d'Espagne..
Médaille signée ANDRIEU DE BORDEAUX REGIT sur la ligne d’exergue au revers, et ANDRIEU sur la base du cou au droit.
Louis-Antoine d’Artois, né le 6 août 1775 à Versailles, France, et mort à Görz, Autriche — actuellement Nova Gorica (Slovénie) — le 3 juin 1844, petit-fils de France et duc d’Angoulême (1775-1824), puis Louis-Antoine de France, dauphin de France (1824-1830) puis « comte de Marnes » (1830-1844), puis en 1836 Louis de France, est un prince de la maison royale de France, fils de Charles-Philippe de France, ce dernier étant comte d'Artois et le futur roi Charles X, et de Marie-Thérèse de Savoie.
Lors des événements de la révolution de Juillet (1830), peu après l’abdication de son père Charles X, il renonce lui-même à ses droits en faveur de son neveu Henri d'Artois. Il s’exile ensuite avec le titre de courtoisie de « comte de Marnes ». À la mort de son père (1836) jusqu'à son propre décès (1844), il devient l’aîné des Capétiens et le « chef de la maison de France », prétendant à la Couronne de France et reconnu comme roi par les légitimistes sous le nom de « Louis XIX ».
Parmi les distinctions militaires qui lui ont été données, le duc d’Angoulême était notamment colonel général des cuirassiers et dragons, grand-amiral de France et généralissime de l’armée d'Espagne..