v24_1328 - LUDWIG XIII DAS GERECHTE Trésorerie générale des fermes de France 1637
MONNAIES 24 (2005)
Startpreis : 180.00 €
Schätzung : 280.00 €
Erzielter Preis : 231.00 €
Anzahl der Gebote : 3
Höchstgebot : 237.00 €
Startpreis : 180.00 €
Schätzung : 280.00 €
Erzielter Preis : 231.00 €
Anzahl der Gebote : 3
Höchstgebot : 237.00 €
Type : Trésorerie générale des fermes de France
Datum: 1637
Name der Münzstätte / Stadt : Paris
Metall : Silber
Durchmesser : 26,5 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 5,73 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire superbe avec une légère usure de circulation. Une très jolie patine de collection recouvre cet exemplaire
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite TRESORERIE. GNALLE - DES. FERMES. DE FRANCE.
Beschreibung Vorderseite Écu accolé de France et de Navarre sous une couronne, le chiffre du roi entre trois couronnes sous les écus, le tout entouré des colliers de l'ordre de Saint-Michel et du Saint-Esprit.
Rückseite
Titulatur der Rückseite VTILIVS. COLLECTA. FLVVNT..
Beschreibung Rückseite Un barrage maçonné duquel s’écoule de l’eau par une bouche ; à l’exergue : .1637..
Kommentare
Manque à Feuardent. Semble non répertorié pour ce millésime et cette administration.
La ferme désigna à la fois le mode de prélèvement de l’impôt indirect par un groupe de particuliers qui “afferment” les revenus des impôts et la taxe elle-même, désignée par l’imposition dont elle procède, comme la ferme des aides. L’attribution des fermes est réalisée par adjudication. Ce système permet à la monarchie de percevoir des revenus stables et de ne pas entretenir de personnel administratif dans les provinces.
La ferme désigna à la fois le mode de prélèvement de l’impôt indirect par un groupe de particuliers qui “afferment” les revenus des impôts et la taxe elle-même, désignée par l’imposition dont elle procède, comme la ferme des aides. L’attribution des fermes est réalisée par adjudication. Ce système permet à la monarchie de percevoir des revenus stables et de ne pas entretenir de personnel administratif dans les provinces.