E-auction 38-14774 - fjt_313777 - FRANÇOIS II Chambre des comptes (?) 1560
Sie müssen angeschlossen sein und von cgb.fr genehmigt werden, um in einer E-Auktion teilzunehmen.Melden Sie sich an, um zu wetten..Die Kontobestätigungen sind innerhalb von 48 Stunden nach Ihrer Anmeldung gemacht.Warten Sie nicht bis die letzten zwei Tage vor dem Abschluss eines Verkaufs, um Ihre Registrierung abzuschließen. Klickend "BIETEN" verpflichten Sie sich vertraglich, diesen Artikel zu kaufen und Sie nehmen ohne Reserve die allgemeinen Verkaufsbedingungen für den e-auctions zu cgb.fr an.
Der Verkauf wird an der Zeit auf der Übersichtsseite angezeigt geschlossen werden. Angebote, die nach der Schließung Zeit empfangen sind, werden nicht gültig.
Bitte beachten Sie, dass die Fristen für die Einreichung Ihres Angebots auf unsere Server können variieren und es kann zur Ablehnung Ihres Angebots entstehen, wenn es in den letzten Sekunden des Verkaufs gesendet wird. Die Angebote sollen mit ganzer Zahl ausgeführt sein, Sie können Kommas oder des Punktes in Ihrem Angebot nicht erfassen. Bei Fragen klicken Sie hier, um einen Blick auf die FAQ E-Auktionen.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
Schätzung : | 28 € |
Preis : | 18 € |
Höchstgebot : | 19 € |
Verkaufsende : | 06 Januar 2014 18:24:00 |
Bieter : | 5 Bieter |
Type : Chambre des comptes (?)
Datum: 1560
Metall : Messing
Durchmesser : 25 mm
Stempelstellung : 12 h.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R1
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite FERTILITATI. FRANCIAE. 1560.
Beschreibung Vorderseite Grande F couronnée ; dessous, deux cornes d'abondance en sautoir, l'une remplie de fruits, l'autre d'épis.
Übersetzung der Vorderseite POUR LA RICHESSE DE LA FRANCE.
Rückseite
Titulatur der Rückseite PROVIDENTIA.GALLIAR.
Beschreibung Rückseite La Providence debout à gauche, tenant de la main droite un rameau auquel est suspendu l'écu de France, la gauche sur une lance au pennon fleurdelisé.
Übersetzung der Rückseite LA PROVIDENCE DES FRANCAIS.
Kommentare
François II (Fontainebleau, le 19 janvier 1544 - Orléans, le 5 décembre 1560), fut roi de France du 10 juillet 1559 à sa mort.
Fils aîné d'Henri II et de Catherine de Médicis, il monte sur le trône de France à l'âge de quinze ans après la mort accidentelle de son père le 10 juillet 1559. Son règne éphémère n’a duré qu'un an et cinq mois mais constitue un prélude majeur au déclenchement des guerres de religion.
Son règne est en effet marqué par une importante crise religieuse. À son avènement, il confie les rênes du gouvernement aux Guise, les oncles de son épouse Marie Stuart, reine d'Écosse, partisans d’une politique de répression à l'égard des protestants. Après la conjuration d’Amboise, il entame la mise en place d'une conciliation à l'égard des réformés mais se montre implacable face aux émeutiers qui mettent à mal son autorité dans les provinces.
Son règne est également marqué par l'abandon de l'Écosse, du Brésil et sous l’effet du Traité du Cateau-Cambrésis, de la Corse, de la Toscane, de la Savoie et de la quasi-totalité du Piémont. Il marque, au profit de l’Espagne, le point de départ de l’affaiblissement de l’influence française en Europe.
Pour de développement de sa biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_II_de_France.
Fils aîné d'Henri II et de Catherine de Médicis, il monte sur le trône de France à l'âge de quinze ans après la mort accidentelle de son père le 10 juillet 1559. Son règne éphémère n’a duré qu'un an et cinq mois mais constitue un prélude majeur au déclenchement des guerres de religion.
Son règne est en effet marqué par une importante crise religieuse. À son avènement, il confie les rênes du gouvernement aux Guise, les oncles de son épouse Marie Stuart, reine d'Écosse, partisans d’une politique de répression à l'égard des protestants. Après la conjuration d’Amboise, il entame la mise en place d'une conciliation à l'égard des réformés mais se montre implacable face aux émeutiers qui mettent à mal son autorité dans les provinces.
Son règne est également marqué par l'abandon de l'Écosse, du Brésil et sous l’effet du Traité du Cateau-Cambrésis, de la Corse, de la Toscane, de la Savoie et de la quasi-totalité du Piémont. Il marque, au profit de l’Espagne, le point de départ de l’affaiblissement de l’influence française en Europe.
Pour de développement de sa biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_II_de_France.