fme_857150 - BANQUES - ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT Médaille, Centenaire de la Banque
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Type : Médaille, Centenaire de la Banque
Datum: 1951
Name der Münzstätte / Stadt : Tunisie
Metall : Silber
Der Feingehalt beträgt : 950 ‰
Durchmesser : 76,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur COËFFIN Josette Hébert (1906-1973)
Gewicht : 171,02 g.
Rand lisse + corne 1ARGENT
Punze : corne 1ARGENT
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Médaille ayant été nettoyée, des taches d’oxydation. Présence de plusieurs coups, en particulier sur la tranche
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite CENTENAIRE DE LA BANQUE DE L’ALGÉRIE ET DE LA TUNISIE.
Beschreibung Vorderseite Inscriptions en arabe dans le champ (en souvenir du centenaire de la banque algérienne et tunisienne), au-dessous 1268-1370 (AH). Signé : J. H. COEFFIN.
Rückseite
Titulatur der Rückseite 1851 - 1951.
Beschreibung Rückseite Dans le champ, alternance d'épis, de moutons, de grappes de raisin, d'immeubles avec la vue du port d’Alger. Signé : J. H. COEFFIN.
Kommentare
Josette Hébert-Coëffin, née le 16 décembre 1906 à Rouen et morte le 3 juin 1973 à Paris, est une sculptrice et graveuse-médailleuse française. Elle est l'élève de Robert Wlérick, Charles Despiau et Maurice Gensoli. Elle suit des études à l'école des beaux-arts de Rouen où elle obtient un premier prix de sculpture et d'architecture en 1922. Elle est la première lauréate de la fondation John-Simon-Guggenheim à New York. Elle crée des modèles pour la manufacture nationale de Sèvres. Elle obtient une médaille d'or à l'Exposition internationale de 1937 ainsi qu'une médaille d'or de la société d'encouragement pour l'industrie.
La Banque de l'Algérie est une institution financière et monétaire fondée en 1851 et démantelée en 1963 dépendant de la Banque de France. Destinée à gérer la politique monétaire et financière en Algérie, alors sous domination française, la banque est créée sous la IIe République, par une loi adoptée le 4 août 1851 par l'Assemblée nationale législative et promulguée le 8 août par Louis-Napoléon Bonaparte, alors président de la République. Il s'agit alors d'une banque d'escompte, de circulation et de dépôt ayant la forme d'une société anonyme au capital de trois millions de francs — représentés par six mille actions de cinq cents francs — et à laquelle est concédé — initialement pour vingt ans — le privilège d'émettre des billets au porteur de 1000, 500, 200, 100 et 50 francs algériens. Ces billets sont remboursables à vue au siège de la banque ou dans l'une de ses succursales. Un décret du 30 mars 1861 porte le capital de la banque à 10 millions de francs, représentés par 20 000 actions de cinq cents francs,10 et son privilège d'émission est reconduit. Après guerre, les trois partis de la résistance, le PCF, le SFIO et le MRP, demandent la nationalisation des grandes banques (loi du 2 décembre 1945), et de la Banque de l’Algérie. Par la loi no 46-1070 du 17 mai 1946, celle-ci est nationalisée puis, par loi no 49-49 du 12 janvier 1949, elle devient la Banque de l'Algérie et de la Tunisie. À la fin du protectorat de la Tunisie, les bureaux tunisiens ferment et la "Banque de l'Algérie et de la Tunisie" redevient Banque de l'Algérie le 1er août 1958. Le personnel sera muté et réparti entre l'Algérie et Paris..
La Banque de l'Algérie est une institution financière et monétaire fondée en 1851 et démantelée en 1963 dépendant de la Banque de France. Destinée à gérer la politique monétaire et financière en Algérie, alors sous domination française, la banque est créée sous la IIe République, par une loi adoptée le 4 août 1851 par l'Assemblée nationale législative et promulguée le 8 août par Louis-Napoléon Bonaparte, alors président de la République. Il s'agit alors d'une banque d'escompte, de circulation et de dépôt ayant la forme d'une société anonyme au capital de trois millions de francs — représentés par six mille actions de cinq cents francs — et à laquelle est concédé — initialement pour vingt ans — le privilège d'émettre des billets au porteur de 1000, 500, 200, 100 et 50 francs algériens. Ces billets sont remboursables à vue au siège de la banque ou dans l'une de ses succursales. Un décret du 30 mars 1861 porte le capital de la banque à 10 millions de francs, représentés par 20 000 actions de cinq cents francs,10 et son privilège d'émission est reconduit. Après guerre, les trois partis de la résistance, le PCF, le SFIO et le MRP, demandent la nationalisation des grandes banques (loi du 2 décembre 1945), et de la Banque de l’Algérie. Par la loi no 46-1070 du 17 mai 1946, celle-ci est nationalisée puis, par loi no 49-49 du 12 janvier 1949, elle devient la Banque de l'Algérie et de la Tunisie. À la fin du protectorat de la Tunisie, les bureaux tunisiens ferment et la "Banque de l'Algérie et de la Tunisie" redevient Banque de l'Algérie le 1er août 1958. Le personnel sera muté et réparti entre l'Algérie et Paris..