v36_0360 - AUGUSTUS, CAIUS und LUCIUS Denier
MONNAIES 36 (2008)
Startpreis : 145.00 €
Schätzung : 200.00 €
Erzielter Preis : 220.00 €
Anzahl der Gebote : 5
Höchstgebot : 237.00 €
Startpreis : 145.00 €
Schätzung : 200.00 €
Erzielter Preis : 220.00 €
Anzahl der Gebote : 5
Höchstgebot : 237.00 €
Type : Denier
Datum: 2 AC. - AD. 12
Name der Münzstätte / Stadt : Gaule, Lyon ou atelier auxiliaire
Metall : Silber
Der Feingehalt beträgt : 900 ‰
Durchmesser : 19 mm
Stempelstellung : 5 h.
Gewicht : 3,66 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire sur un petit flan ovale, légèrement court sur les légendes, en particulier au droit. Très beau portrait. Joli revers de style fin, bien venu à la frappe. Patine gris foncé
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite CAESAR AVGVSTVS - DIVI F PATER PATRIAE.
Beschreibung Vorderseite Tête laurée d’Auguste à droite (O*).
Übersetzung der Vorderseite “Cæsar Augustus Divi Filius Pater Patriæ”, (César Auguste fils du divin Jules, père de la patrie).
Rückseite
Titulatur der Rückseite C. L. CAESARES À L'EXERGUE/ [AVGVSTI F] COS DESIG PRINC IVVENT.
Beschreibung Rückseite Caius et Lucius Césars debout de face, vêtus de la toge, tenant chacun un bouclier rond et une haste ; entre eux, le simpulum à gauche, le lituus à droite.
Übersetzung der Rückseite "Caius et Lucius Cæsares/ Augusti filii consules designati Principes Iuventutis" (Caius et Lucius Césars, fils d'Auguste, consuls désignés, princes de la jeunesse).
Kommentare
Rubans de type 2. C’est l’un des deniers les plus courants de l’atelier de Lyon. C’est aussi l’une des pièces qui se rencontre le plus souvent en Gaule. C’est encore l’un des deniers qui a été le plus imité aussi bien dans les limites de l’Empire qu’en dehors du limes. Le denier représentant les deux petits-fils d’Auguste eut un succès considérable en Gaule. Nous devons modifier notre vision de la circulation monétaire entre la fin de la guerre des Gaules et la mort de Néron en 68 après J.-C. Monnaies gauloises en argent, en bronze et en potin circulèrent conjointement avec les monnaies romaines qui se répandirent largement en dehors de la Narbonnaise. Il faut évoquer le néologisme de circulation “romano-gauloise” plutôt que gallo-romaine.