fme_988911 - DRITTE FRANZOSISCHE REPUBLIK Plaquette, Fernand Chapsal
100.00 €
Menge
In den Warenkorb
Type : Plaquette, Fernand Chapsal
Datum: 1920
Name der Münzstätte / Stadt : 17 - Saintes
Metall : Bronze
Durchmesser : 70,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur YENCESSE Ovide (1869-1947)
Gewicht : 88,12 g.
Rand lisse + BRONZE
Punze : BRONZE
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Médaille nettoyée présentant de l’usure sur les reliefs. Présence de quelques rayures
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite FERNAND CHAPSAL.
Beschreibung Vorderseite Buste à gauche de Fernand Chapsal. Signé : O. YENCESSE.
Rückseite
Titulatur der Rückseite SAINTES / A FERNAND CHAPSAL / SES AMIS / CONSEIL D’ÉTAT / 1888 / MINISTRE DU COMMERCE ET DE L’INDUSTRIE / 1902 / EXPOSITION DE LIÈGE / 1905 / EXPOSITION DE BRUXELLES / 1910 / RAVITAILLEMENT NATIONAL / 1914 / GRAND CROIX DE LA LÉGION D’HONNEUR / 1920.
Beschreibung Rückseite Légende en 15 lignes avec un écu couronné de la ville de Saintes et une vue de ville au-dessus.
Kommentare
Dimensions : 70,5*48,5 mm
Fernand Chapsal, né à Limoges le 10 mars 1862, décédé à Neuilly-sur-Seine le 10 février 1939, est un homme politique français. Il était membre du Parti républicain, radical et radical-socialiste (PRS).
Ovide Yencesse (1869 - 1947), est un graveur-médailleur et sculpteur français. Il fut directeur de l'école des beaux-arts de Dijon de 1919 à 1934.
Son talent est remarqué par la critique ; le très influent Roger Marx trouvant qu'il apporte un « frisson nouveau » dans la médaille, en y introduisant l'impressionnisme. « C'est un art d'intimité, de compassion sociale, résolument moderne, écrit-il dans un article de 1902. Les qualités dictinctives du talent de M. Yencesse sont la pénétration, la tendresse. Dans ses compositions, ses portraits, il arrive à nous toucher au plus profond de l'âme, par la sobriété de la mise en scène, par l'élimination des détails ; il généralise l'accidentel et élève de la sorte au symbole tout spectacle pris autour de lui. La facture, très particulière, elle aussi, contribue à accroître le trouble où nous jettent ces images ; les reliefs émergent à peine du champ de la médaille, la pénombre enveloppe toutes les parties de l'ensemble, comme dans les peintures d'Eugène Carrière. Jamais on n'a mieux fait sentir quels rapports étroits unissent la glyptique et la peinture. » Cette facture très particulière, que son fondeur A. Liard savait parfaitement traduire, lui vaudra, par allusion à la peinture d'Eugène Carrière, le surnom de « Carrière de la médaille ». À l'Exposition universelle de 1900 à Paris, il obtient la médaille d'or et la Légion d'honneur.
.
Fernand Chapsal, né à Limoges le 10 mars 1862, décédé à Neuilly-sur-Seine le 10 février 1939, est un homme politique français. Il était membre du Parti républicain, radical et radical-socialiste (PRS).
Ovide Yencesse (1869 - 1947), est un graveur-médailleur et sculpteur français. Il fut directeur de l'école des beaux-arts de Dijon de 1919 à 1934.
Son talent est remarqué par la critique ; le très influent Roger Marx trouvant qu'il apporte un « frisson nouveau » dans la médaille, en y introduisant l'impressionnisme. « C'est un art d'intimité, de compassion sociale, résolument moderne, écrit-il dans un article de 1902. Les qualités dictinctives du talent de M. Yencesse sont la pénétration, la tendresse. Dans ses compositions, ses portraits, il arrive à nous toucher au plus profond de l'âme, par la sobriété de la mise en scène, par l'élimination des détails ; il généralise l'accidentel et élève de la sorte au symbole tout spectacle pris autour de lui. La facture, très particulière, elle aussi, contribue à accroître le trouble où nous jettent ces images ; les reliefs émergent à peine du champ de la médaille, la pénombre enveloppe toutes les parties de l'ensemble, comme dans les peintures d'Eugène Carrière. Jamais on n'a mieux fait sentir quels rapports étroits unissent la glyptique et la peinture. » Cette facture très particulière, que son fondeur A. Liard savait parfaitement traduire, lui vaudra, par allusion à la peinture d'Eugène Carrière, le surnom de « Carrière de la médaille ». À l'Exposition universelle de 1900 à Paris, il obtient la médaille d'or et la Légion d'honneur.
.