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fco_318650 - TOGO - FRANZÖSISCHE MANDAT 1 Franc léger - Essai de frappe de 1 Franc Morlon - 4 grammes 1926 Paris
850.00 €
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Type : 1 Franc léger - Essai de frappe de 1 Franc Morlon - 4 grammes
Datum: 1926
Name der Münzstätte / Stadt : Paris
Metall : Bronze-Aluminium
Durchmesser : 23,06 mm
Stempelstellung : 6 h.
Gewicht : 4 g.
Rand striée
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
exemplaire neuf mais présentant des traces à l’avers
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la Collection Michel
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite RÉPUBLIQUE - FRANÇAISE / 1926.
Beschreibung Vorderseite Marianne à gauche, portant le bonnet phrygien et couronnée de lauriers.
Rückseite
Titulatur der Rückseite .TERRITOIRES . SOUS . MANDAT . DE . LA . FRANCE. / TOGO / 1 - FR..
Beschreibung Rückseite trois palmes dressées liées par un ruban.
Kommentare
Ce millésime n’est pas référencé dans le Lecompte. Les années connues pour le Togo se limitent à 1924, essai et frappe courante, et 1925, frappe courante. Il est seulement référencé dans le catalogue MONNAIES 30 (monnaies n° 1050 et 1051).
Le poids (4 grammes), le diamètre (23 mm), le métal utilisé (bronze aluminium) et l’année (1926) peut laissr penser qu’il s’agit d’un essai de frappe d’une 1 Franc Morlon Malheureusement, sans preuve formelle.
On peut aussi penser que l’année 1926 avait été prévue pour le Togo, que les coins furent réalisés et que la frappe specimen resta la seule. Mais ceci n’expliquerait pas la différence de poids.
Toute la série de ces frappes pour le Togo et le Cameroun des collections Pierre et Michel ont en commun une caractéristique : les états de conservation. En effet, ces monnaies, que leurs poids soient au standard de l’émission coloniale ou sur l’étalon des Morlon, sont absolument neuves et leurs seules imperfections proviennent de manipulations, même pas de chocs entre des monnaies mais des traces de doigts. L’absence de ces petits chocs produits soit par la chute des monnaies tombant dans des bacs après frappe ou par les manipulations en sacs est totale. On pourrait donc même penser que les frappes ont été faites hors circuit industriel. Or, pour ces types, les exemplaires connus, dans le meilleur des cas et les plus belles collections, sont des exemplaires en petits superbes, la circulation en Afrique n’étant manifestement pas une sinécure pour monnaies et rien n’ayant été conservé hors circulation, en métropole.
Les exemplaires des collections Pierre et Michel ne peuvent pas être des prélèvements avant envois en Afrique : nous n’avons jamais vu de tels prélèvements, sur plusieurs millésimes différents, plusieurs valeurs faciales différentes, deux pays différents, être ainsi conservés. Autre remarque, les coins utilisés ne sont pas neufs et viennent d’être repolis : on voit le plus souvent des stries de polissage dans les champs et les reliefs sont uniformément mats sur des champs miroir ; un prélèvement se serait plutôt fait en début de production, donc avec des coins neufs, plus ou moins uniformément brillants.
On a donc tout lieu de penser que la frappe de ces exemplaires s’est faite complètement en dehors de la production standard, et après celle-ci puisque avec des coins repolis, donc probablement en 1926/1927.
Pourquoi ? Manifestement, quand on regarde les poids, le métal, les diamètres, l’époque, la seule hypothèse viable est de considérer ces monnaies comme des essais de frappe de la série Morlon. Cela explique surtout pourquoi ces exemplaires ont été conservés, sont neufs, frappés hors circuit industriel, et présentent ces variations de poids.
Le poids (4 grammes), le diamètre (23 mm), le métal utilisé (bronze aluminium) et l’année (1926) peut laissr penser qu’il s’agit d’un essai de frappe d’une 1 Franc Morlon Malheureusement, sans preuve formelle.
On peut aussi penser que l’année 1926 avait été prévue pour le Togo, que les coins furent réalisés et que la frappe specimen resta la seule. Mais ceci n’expliquerait pas la différence de poids.
Toute la série de ces frappes pour le Togo et le Cameroun des collections Pierre et Michel ont en commun une caractéristique : les états de conservation. En effet, ces monnaies, que leurs poids soient au standard de l’émission coloniale ou sur l’étalon des Morlon, sont absolument neuves et leurs seules imperfections proviennent de manipulations, même pas de chocs entre des monnaies mais des traces de doigts. L’absence de ces petits chocs produits soit par la chute des monnaies tombant dans des bacs après frappe ou par les manipulations en sacs est totale. On pourrait donc même penser que les frappes ont été faites hors circuit industriel. Or, pour ces types, les exemplaires connus, dans le meilleur des cas et les plus belles collections, sont des exemplaires en petits superbes, la circulation en Afrique n’étant manifestement pas une sinécure pour monnaies et rien n’ayant été conservé hors circulation, en métropole.
Les exemplaires des collections Pierre et Michel ne peuvent pas être des prélèvements avant envois en Afrique : nous n’avons jamais vu de tels prélèvements, sur plusieurs millésimes différents, plusieurs valeurs faciales différentes, deux pays différents, être ainsi conservés. Autre remarque, les coins utilisés ne sont pas neufs et viennent d’être repolis : on voit le plus souvent des stries de polissage dans les champs et les reliefs sont uniformément mats sur des champs miroir ; un prélèvement se serait plutôt fait en début de production, donc avec des coins neufs, plus ou moins uniformément brillants.
On a donc tout lieu de penser que la frappe de ces exemplaires s’est faite complètement en dehors de la production standard, et après celle-ci puisque avec des coins repolis, donc probablement en 1926/1927.
Pourquoi ? Manifestement, quand on regarde les poids, le métal, les diamètres, l’époque, la seule hypothèse viable est de considérer ces monnaies comme des essais de frappe de la série Morlon. Cela explique surtout pourquoi ces exemplaires ont été conservés, sont neufs, frappés hors circuit industriel, et présentent ces variations de poids.