fjt_743321 - SÉRIE MÉTALLIQUE DES ROIS DE FRANCE Règne de CHILDERIC III - 21 - frappe Louis XVIII, lourde n.d.
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Type : Règne de CHILDERIC III - 21 - frappe Louis XVIII, lourde
Datum: n.d.
Metall : Kupfer
Durchmesser : 32 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 11,25 g.
Rand cannelée
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine mate
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection MARINECHE
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite CHILDERIC III ROY DE FRANCE.
Beschreibung Vorderseite Buste imaginaire drapé et couronné à gauche.
Rückseite
Titulatur der Rückseite 21 - LES BAVAROIS SOUMIS 749 - MORT 738 - FIN DE LA PREMIERE RACE.
Beschreibung Rückseite en cinq lignes.
Kommentare
Childéric III est né vers 714 et mort vers 755. Il est roi des Francs, de Neustrie, de Bourgogne et d'Austrasie de 743 à 752. D'origine incertaine (peut-être fils de Chilpéric II), il est le dernier membre régnant de la dynastie mérovingienne.
Pour prouver la faiblesse des rois mérovingiens, le maire du palais austrasien Charles Martel laisse vacant le trône après la mort de Thierry IV, en 737, en faisant enfermer Childéric dès cette année-là, au monastère de Saint-Bertin, à Sithiu (aujourd'hui Saint-Omer). Pendant les sept années d'interrègne, tous les documents officiels sont datés de l'année 737.
Childéric est rappelé sur le trône en 743 par Pépin le Bref, le fils de Charles Martel. Pépin lui permet d'occuper le trône dont on l'a privé, sans doute pour plaire à l'aristocratie partisane de l'ancienne dynastie franque, car le clergé et plusieurs peuples, qu'il tient en soumission, mettent en cause sa légitimité.
En 750, Pépin envoie une délégation franque auprès du pape Zacharie, pour lui demander l'autorisation de mettre fin au règne décadent des Mérovingiens, et donc de prendre la couronne à la place de Childéric. Consulté par Burchard, évêque de Wurtsbourg et Fulbert, abbé de Saint-Denis, ambassadeurs de Pépin, le pape Zacharie autorisa la déposition de Childéric en mars 752[3], en la justifiant au motif que « devait être roi celui qui exerçait la réalité du pouvoir ».
Pour la suite de sa biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Child%C3%A9ric_III notons que cette fiche est illustrée par notre jeton.
Pour prouver la faiblesse des rois mérovingiens, le maire du palais austrasien Charles Martel laisse vacant le trône après la mort de Thierry IV, en 737, en faisant enfermer Childéric dès cette année-là, au monastère de Saint-Bertin, à Sithiu (aujourd'hui Saint-Omer). Pendant les sept années d'interrègne, tous les documents officiels sont datés de l'année 737.
Childéric est rappelé sur le trône en 743 par Pépin le Bref, le fils de Charles Martel. Pépin lui permet d'occuper le trône dont on l'a privé, sans doute pour plaire à l'aristocratie partisane de l'ancienne dynastie franque, car le clergé et plusieurs peuples, qu'il tient en soumission, mettent en cause sa légitimité.
En 750, Pépin envoie une délégation franque auprès du pape Zacharie, pour lui demander l'autorisation de mettre fin au règne décadent des Mérovingiens, et donc de prendre la couronne à la place de Childéric. Consulté par Burchard, évêque de Wurtsbourg et Fulbert, abbé de Saint-Denis, ambassadeurs de Pépin, le pape Zacharie autorisa la déposition de Childéric en mars 752[3], en la justifiant au motif que « devait être roi celui qui exerçait la réalité du pouvoir ».
Pour la suite de sa biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Child%C3%A9ric_III notons que cette fiche est illustrée par notre jeton.