fme_775234 - ZWEITES KAISERREICH Médaille, Traité de commerce franco-anglais
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Type : Médaille, Traité de commerce franco-anglais
Datum: 1860
Metall : Kupfer
Durchmesser : 57 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur MERLEY Louis (1815-1883)
Gewicht : 92,21 g.
Rand lisse + abeille CUIVRE
Punze : Abeille CUIVRE
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Jolie patine marron, quelques traces de manipulation. Légère usure sur certains releifs
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite NAPOLÉON III - EMPEREUR.
Beschreibung Vorderseite Tête laurée à gauche de Napoléon III. Signé : L. MERLEY .F.
Rückseite
Titulatur der Rückseite NAPOLÉON III RÉGNANT // À L’EXERGUE : TRAITÉ DE COMMERCE AVEC L'ANGLETERRE. 23 JANVIER 1860 / ENQUÊTE FAITE PAR LE CONSEIL SUPÉRIEUR / DU COMMERCE / M PILLET-LETURGEON.
Beschreibung Rückseite Minerve, casquée, vêtue à l’antique, réunit la France et l'Angleterre autour d'un autel où elles signent un parchemin déroulé sur lequel figure : FRANCE / ANGLETERRE. Signé : L. MERLEY .F.
Kommentare
Cet exemplaire, conservé dans un écrin marron avec feutrine bleu, fut décerné à Monsieur Pillet-Léturgeon.
Le 15 janvier 1860, Le Moniteur, journal officiel de l'Empire français, publie une lettre de Napoléon III à son ministre d'État, le banquier Eugène Fould. « Depuis longtemps, écrit l'empereur, on proclame cette vérité qu'il faut multiplier les moyens d'échanges pour rendre le commerce florissant ; que sans concurrence l'industrie reste stationnaire et conserve des prix qui s'opposent aux progrès de la consommation. » Ce manifeste libre-échangiste annonce un changement radical de politique commerciale de la France.
Quelques jours plus tard, un traité de commerce est signé entre la France et le Royaume-Uni, les deux premières puissances économiques d'alors, par Michel Chevalier, ancien saint-simonien et Richard Cobden, qui, en 1846, après quinze ans de luttes, était parvenu à obtenir la suppression unilatérale des droits anglais sur le blé, les fameuses « corn laws ».
cf. http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130701trib000773334/libre-echange-le-precedent-de-1860.html.
Le 15 janvier 1860, Le Moniteur, journal officiel de l'Empire français, publie une lettre de Napoléon III à son ministre d'État, le banquier Eugène Fould. « Depuis longtemps, écrit l'empereur, on proclame cette vérité qu'il faut multiplier les moyens d'échanges pour rendre le commerce florissant ; que sans concurrence l'industrie reste stationnaire et conserve des prix qui s'opposent aux progrès de la consommation. » Ce manifeste libre-échangiste annonce un changement radical de politique commerciale de la France.
Quelques jours plus tard, un traité de commerce est signé entre la France et le Royaume-Uni, les deux premières puissances économiques d'alors, par Michel Chevalier, ancien saint-simonien et Richard Cobden, qui, en 1846, après quinze ans de luttes, était parvenu à obtenir la suppression unilatérale des droits anglais sur le blé, les fameuses « corn laws ».
cf. http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130701trib000773334/libre-echange-le-precedent-de-1860.html.