v36_1248 - GALLIEN - SÜDWESTGALLIEN - RUTENI (Region die Rodez) Obole au daim
MONNAIES 36 (2008)
Startpreis : 1 500.00 €
Schätzung : 3 000.00 €
Erzielter Preis : 1 500.00 €
Anzahl der Gebote : 1
Höchstgebot : 1 550.00 €
Startpreis : 1 500.00 €
Schätzung : 3 000.00 €
Erzielter Preis : 1 500.00 €
Anzahl der Gebote : 1
Höchstgebot : 1 550.00 €
Type : Obole au daim
Datum: Ier siècle avant J.-C.
Metall : Silber
Durchmesser : 9,5 mm
Stempelstellung : 8 h.
Gewicht : 0,33 g.
Seltenheitsgrad : R3
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Très intéressante et magnifique petite monnaie frappée sur un flan très étroit et élongé. Le droit est décalé sur la droite, mais la tête est encore complètement identifiable. Le revers est quand à lui idéalement centré au vu de l’étroitesse du flan, avec l’animal complet. Très fine patine grise, très légèrement tachée au droit sur le menton et derrière la nuque
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite ANÉPIGRAPHE.
Beschreibung Vorderseite Petite tête stylisé à droite ; grènetis.
Rückseite
Titulatur der Rückseite ANÉPIGRAPHE.
Beschreibung Rückseite Petit daim (?) bondissant à droite, (une feuille au-dessus de l’animal et un rinceau encore au-dessus) ; grènetis.
Kommentare
Cette obole au daim, la première à avoir été publiée en 1991 et une des deux seules répertoriées en 2007, ne semble pas avoir été frappée avec les mêmes coins que le n° 188 de C. Lopez.
Concernant la métrologie de cette monnaie, M. Feugère et M. Lhermet faisait remarquer que “le poid réduit, 0,3 gramme, se place autour d’1/6 de celui des monnaies les plus courantes, ce qui correspond au rapport habituel obole/drachme dans le système marseillais par exemple”.
Cette monnaie est certainement la pièce la plus rare du monnayage rutène. L’exemplaire du Lopez permet de restituer la feuille et le rinceau (interprété comme étant la queue du daim) au-dessus de l’animal. A la lumière de ces deux exemplaires connus, il semble raisonnable d’affirmer que cette obole est anépigraphe.
Concernant la métrologie de cette monnaie, M. Feugère et M. Lhermet faisait remarquer que “le poid réduit, 0,3 gramme, se place autour d’1/6 de celui des monnaies les plus courantes, ce qui correspond au rapport habituel obole/drachme dans le système marseillais par exemple”.
Cette monnaie est certainement la pièce la plus rare du monnayage rutène. L’exemplaire du Lopez permet de restituer la feuille et le rinceau (interprété comme étant la queue du daim) au-dessus de l’animal. A la lumière de ces deux exemplaires connus, il semble raisonnable d’affirmer que cette obole est anépigraphe.