fjt_808055 - LA PRESSE Théophraste Renaudot, médecin, journaliste 1665
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Type : Théophraste Renaudot, médecin, journaliste
Datum: 1665
Metall : Kupfer
Durchmesser : 28,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 7,92 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R2
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Jeton provenant de la Collection MARINECHE
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite THEOPHRASTE RENAVDOT SR DE BOISSEME CR D R E S COVR D ME.
Beschreibung Vorderseite Buste de Théophraste Renaudot.
Rückseite
Titulatur der Rückseite SVPERAT VIGILANTIA ROBVR.
Beschreibung Rückseite Armes de Théophraste Renaudot lambrequinées, accostées de 1665.
Übersetzung der Rückseite Sa vigilance l'emporte sur sa robustesse.
Kommentare
Ce jeton est d’une frappe postérieure à 1665 mais déjà ancienne et ne porte pas de poinçon.
Théophraste Renaudot, né en 1586 à Loudun (actuel département de la Vienne) et mort le 25 octobre 1653 à Paris est un journaliste, médecin et philanthrope français. Il est le fondateur de la publicité et de la presse française par ses deux créations du Bureau d'adresse (1629) et de la Gazette, journal hebdomadaire (30 mai 1631). Médecin ordinaire du roi, il fut nommé « commissaire aux pauvres du royaume ». pour plus d’information, se reporter à sa fiche wikipedia à http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ophraste_Renaudot .
Il est exceptionnel qu’un jeton porte le portrait du personnage et c’est probablement la tradition médicale des doyens qui est reprise ici.
Théophraste Renaudot, né en 1586 à Loudun (actuel département de la Vienne) et mort le 25 octobre 1653 à Paris est un journaliste, médecin et philanthrope français. Il est le fondateur de la publicité et de la presse française par ses deux créations du Bureau d'adresse (1629) et de la Gazette, journal hebdomadaire (30 mai 1631). Médecin ordinaire du roi, il fut nommé « commissaire aux pauvres du royaume ». pour plus d’information, se reporter à sa fiche wikipedia à http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ophraste_Renaudot .
Il est exceptionnel qu’un jeton porte le portrait du personnage et c’est probablement la tradition médicale des doyens qui est reprise ici.