fco_320796 - MAROKKO - FRANZÖZISISCH PROTEKTORAT 5 Dirhams essai Cupro-Nickel Morlon AH 1349 n.d.
Nicht verfügbar.
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2015)
Preis : 3 500.00 €
Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2015)
Preis : 3 500.00 €
Type : 5 Dirhams essai Cupro-Nickel Morlon AH 1349
Datum: n.d.
Prägemenge : -
Metall : Kupfer-Nickel
Durchmesser : 32,17 mm
Stempelstellung : 7 h.
Gewicht : 12,01 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : INÉDIT
Kommentare zum Erhaltungszustand:
légères traces de manipulation
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la Collection Michel
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite EN ARABE, AU CENTRE : DEMI-RIAL DE MOULAY YOUSSEF, LE NOBLE ; DANS LES CANTONS DE L’ÉTOILE : QU’IL SOIT ACCOMPAGNÉ PAR LA JOIE, LA CHANCE, L’AMOUR DE SON PEUPLE, LA GLOIRE, ET CE, POUR TOUJOURS.
Beschreibung Vorderseite Sceau de Salomon cerclé en son centre.
Rückseite
Titulatur der Rückseite REPVBLIQVE - FRANÇAISE.
Beschreibung Rückseite tête de Marianne à droite et signature Morlon.
Kommentare
Cette frappe est inédite en cupro-nickel. Par ailleurs, Lecompte signale une frappe médaille. Il s’agit ici d’une très étrange frappe à 7h qui se rapproche donc plus d’une frappe monnaie.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.