fme_972115 - LUDWIG XVIII Médaille, Mort de Charles Ferdinand duc de Berry
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Type : Médaille, Mort de Charles Ferdinand duc de Berry
Datum: 1820
Metall : Kupfer
Durchmesser : 40,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur GAYRARD Raymond (1777-1858) / DE PUYMAURIN Jean-Pierre (1757-1841)
Gewicht : 39,61 g.
Rand lisse
Punze : sans poinçon
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine marron hétérogène, présentant quelques taches d’oxydation. Petite usure. Quelques coups sur la tranche
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite CH. FERDINAND - DUC DE BERRY.
Beschreibung Vorderseite Buste à gauche du Duc de Berry; signé : GAYRARD F..
Rückseite
Titulatur der Rückseite PUGIONE / PERCUSSUS PERIIT / 14 FEB. 1820 / - / GALLIA SPEM SUAM / CONJUX AMANTEM / MILITES DUCEM / PAUPERES PATREM / PERDIDERE.
Beschreibung Rückseite Inscription en 8 lignes dans le champ, cerné de deux rameaux; signé : DE PUYMAURIN FECIT ET DIR..
Kommentare
Le duc de Berry, neveu du roi Louis XVIII et héritier potentiel au trône de France est assassiné dans la nuit du 13 au 14 février 1820 sur la place Louvois par l'ouvrier bonapartiste Louvel.
L'assassinat a un fort retentissement dans le pays car c'est sur le duc de Berry que l'avenir de la dynastie bourbonienne reposait. C'est pourquoi cet assassinat est perçu comme un régicide par l'opinion. Les ultras-royalistes se déchaînent alors face à Decazes, considéré comme le principal responsable de cette situation avec sa politique libérale.
Louvel est guillotiné le 7 juin 1820 sur la place de Grêve. Le 29 septembre 1820, un enfant naît de Marie-Caroline des Deux-Siciles, la femme du défunt duc. La dynastie est alors sauvée et le nouveau-né est appelé Henri Dieudonné d'Artois.
L'assassinat a un fort retentissement dans le pays car c'est sur le duc de Berry que l'avenir de la dynastie bourbonienne reposait. C'est pourquoi cet assassinat est perçu comme un régicide par l'opinion. Les ultras-royalistes se déchaînent alors face à Decazes, considéré comme le principal responsable de cette situation avec sa politique libérale.
Louvel est guillotiné le 7 juin 1820 sur la place de Grêve. Le 29 septembre 1820, un enfant naît de Marie-Caroline des Deux-Siciles, la femme du défunt duc. La dynastie est alors sauvée et le nouveau-né est appelé Henri Dieudonné d'Artois.