E-auction 588-547100 - fme_936069 - LUDWIG PHILIPP I Médaille, Député du Morbihan
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 120 € |
Preis : | 19 € |
Höchstgebot : | 49 € |
Verkaufsende : | 22 Juli 2024 20:38:20 |
Bieter : | 3 Bieter |
Type : Médaille, Député du Morbihan
Datum: 1844
Name der Münzstätte / Stadt : 56 - Morbihan
Metall : Kupfer
Durchmesser : 26,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur BORREL Valentin Maurice(1804-1882)
Gewicht : 10,09 g.
Rand lisse + Proue CUIVRE
Punze : Proue CUIVRE
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Présence de petits coups et de trace d’usure
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite MIS DE LA ROCHEJAQUELEIN - DÉPUTÉ DU MORBIHAN.
Beschreibung Vorderseite Portrait du marquis à gauche, la chevelure abondant et les favoris marqués.
Rückseite
Titulatur der Rückseite AU / DÉPUTÉ / DU / MORBIHAN / MDCXXXXII / MDCXXXXIII / ET / MDCXXXXIV.
Beschreibung Rückseite Légende en huit lignes.
Kommentare
Henri-Auguste-Georges du Vergier de La Rochejaquelein (château de Citran, Gironde, le 28 septembre 1805 - 7 janvier 1867) était un homme politique français. Son père Louis du Vergier de La Rochejaquelein et son oncle Henri comptent parmi les plus célèbres des généraux royalistes qui ont combattu pendant la guerre de Vendée.
Il entre à l'École militaire de Saint-Cyr en 1823, et devient officier des grenadiers à cheval de la Garde. Il prend part à l'expédition d'Espagne de 1823 et à la guerre russo-turque de 1828-1829. Il fut officier de la Légion d'honneur, chevalier de 4e classe de l'Ordre de Sainte-Anne, chevalier de 4e classe de l'Ordre de Saint-Vladimir.
Membre de la Chambre des pairs dès 1825, il démissionne après la révolution de juillet 1830 et l'accession au trône de Louis-Philippe, qui appartient à la branche cadette de la maison de Bourbon. Il est élu député du Morbihan en 1842, et siège à droite, parmi les légitimistes.
En 1848, la Gazette de France soutient sa candidature à l'élection présidentielle, mais il n'obtient qu'un nombre de votes insignifiant. Fait sénateur par Napoléon III en 1852, au grand étonnement des autres légitimistes, il défend ardemment le catholicisme ; sa nomination au Sénat peut peut-être s'expliquer par ses positions en matière de politique extérieure, où il se montre moins intransigeant sur la question romaine : il soutient d'ailleurs toujours la politique impériale dans ce domaine..
Il entre à l'École militaire de Saint-Cyr en 1823, et devient officier des grenadiers à cheval de la Garde. Il prend part à l'expédition d'Espagne de 1823 et à la guerre russo-turque de 1828-1829. Il fut officier de la Légion d'honneur, chevalier de 4e classe de l'Ordre de Sainte-Anne, chevalier de 4e classe de l'Ordre de Saint-Vladimir.
Membre de la Chambre des pairs dès 1825, il démissionne après la révolution de juillet 1830 et l'accession au trône de Louis-Philippe, qui appartient à la branche cadette de la maison de Bourbon. Il est élu député du Morbihan en 1842, et siège à droite, parmi les légitimistes.
En 1848, la Gazette de France soutient sa candidature à l'élection présidentielle, mais il n'obtient qu'un nombre de votes insignifiant. Fait sénateur par Napoléon III en 1852, au grand étonnement des autres légitimistes, il défend ardemment le catholicisme ; sa nomination au Sénat peut peut-être s'expliquer par ses positions en matière de politique extérieure, où il se montre moins intransigeant sur la question romaine : il soutient d'ailleurs toujours la politique impériale dans ce domaine..