Live auction - fme_993725 - NATIONALKONVENT Médaille, Loterie nationale
Sie müssen angeschlossen sein und von cgb.fr genehmigt werden, um in einer E-Auktion teilzunehmen.Melden Sie sich an, um zu wetten..Die Kontobestätigungen sind innerhalb von 48 Stunden nach Ihrer Anmeldung gemacht.Warten Sie nicht bis die letzten zwei Tage vor dem Abschluss eines Verkaufs, um Ihre Registrierung abzuschließen. Klickend "BIETEN" verpflichten Sie sich vertraglich, diesen Artikel zu kaufen und Sie nehmen ohne Reserve die allgemeinen Verkaufsbedingungen für den live auctions zu cgb.fr an.
Der Verkauf wird an der Zeit auf der Übersichtsseite angezeigt geschlossen werden. Angebote, die nach der Schließung Zeit empfangen sind, werden nicht gültig.
Bitte beachten Sie, dass die Fristen für die Einreichung Ihres Angebots auf unsere Server können variieren und es kann zur Ablehnung Ihres Angebots entstehen, wenn es in den letzten Sekunden des Verkaufs gesendet wird. Die Angebote sollen mit ganzer Zahl ausgeführt sein, Sie können Kommas oder des Punktes in Ihrem Angebot nicht erfassen. Bei Fragen klicken Sie hier, um einen Blick auf die FAQ Live-Auktionen.
Alle Gewinngebote unterliegen einem Aufschlag von 18 % für Verkaufskosten.
Alle Gewinngebote unterliegen einem Aufschlag von 18 % für Verkaufskosten.
Schliessungsdatum
04/03/2025 14:00:00
04/03/2025 14:00:00
fme_993725
1079
Sie müssen sich anmelden, um zu bieten
Klicken Sie hier, um sich anzumelden
Type : Médaille, Loterie nationale
Datum: (1797)
Metall : Bronze
Durchmesser : 72 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur GATTEAUX Nicolas-Marie (1751-1832)
Gewicht : 77,8 g.
Rand lisse
Punze : sans poinçon
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine hétérogène jaune avec des traces de manipulation, coups et rayures notamment sur la tranche. Présence de tâches d’oxydation, également sur la tranche
N° im Nachschlagewerk :
Hennin810 - Carnavaletnd2497
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite ANÉPIGRAPHE.
Beschreibung Vorderseite Allégorie de la liberté drapée à l’antique, tenant une pique surmontée d’un bonnet phrygien et se tenant à une colonne timbrée d’un niveau, Couronne de laurier.
Rückseite
Titulatur der Rückseite REPUBLIQUE - FRANCAISE // LOTERIE / NATIONALE.
Beschreibung Rückseite Bonnet phrygien et le niveau de l’Egalité.
Kommentare
Diamètre sans bélière : 58,50 mm
La Loterie fut supprimée par un décret de la Convention Nationale du 16 novembre 1793, comme institution immorale. Son rétablissement fut proposé en l’an 5 et le Conseil des Cinq-Cents adopta le 4 germinal de cette année (24 mars 1797) une résolution qu'il serait établi une Loterie combinée de manière à produire une somme de douze millions, y compris les frais de perception. Cette résolution fut rejetée par le Conseil des Anciens dans la séance du 25 germinal an 5 (14 avril 1797).
La Loterie fut rétablie, après de longues discussions dans les deux Conseils, par la loi de finances du 9 vendémiaire an 6 (30 septembre 1797), qui renfermait aussi les dispositions relatives à la réduction de la dette publique an tiers. La Loterie ne pouvait pas reparaître dans un moment qui fut plus en harmonie avec son institution que celui d'une banqueroute. Cette institution, bien véritablement immorale, qui avait été détruite comme telle par la Convention Nationale, qui fut rétablie sous la constitution de l'an 3, a été perfectionnée, c'est-à-dire rendue plus funeste, sous le gouvernement impérial, et conservée depuis 1814, malgré les constantes réclamations de tous les amis de l'humanité et de la morale. Cette médaille était portée par divers employés de la Loterie depuis le rétablissement du 30 septembre 1797; elle doit donc être classée à cette époque. (cf. Hennin)
L'avers de cette pièce avait déjà été employé pour une médaille classée à la date du 31 décembre 1792.
La Loterie fut supprimée par un décret de la Convention Nationale du 16 novembre 1793, comme institution immorale. Son rétablissement fut proposé en l’an 5 et le Conseil des Cinq-Cents adopta le 4 germinal de cette année (24 mars 1797) une résolution qu'il serait établi une Loterie combinée de manière à produire une somme de douze millions, y compris les frais de perception. Cette résolution fut rejetée par le Conseil des Anciens dans la séance du 25 germinal an 5 (14 avril 1797).
La Loterie fut rétablie, après de longues discussions dans les deux Conseils, par la loi de finances du 9 vendémiaire an 6 (30 septembre 1797), qui renfermait aussi les dispositions relatives à la réduction de la dette publique an tiers. La Loterie ne pouvait pas reparaître dans un moment qui fut plus en harmonie avec son institution que celui d'une banqueroute. Cette institution, bien véritablement immorale, qui avait été détruite comme telle par la Convention Nationale, qui fut rétablie sous la constitution de l'an 3, a été perfectionnée, c'est-à-dire rendue plus funeste, sous le gouvernement impérial, et conservée depuis 1814, malgré les constantes réclamations de tous les amis de l'humanité et de la morale. Cette médaille était portée par divers employés de la Loterie depuis le rétablissement du 30 septembre 1797; elle doit donc être classée à cette époque. (cf. Hennin)
L'avers de cette pièce avait déjà été employé pour une médaille classée à la date du 31 décembre 1792.