E-auction 411-323538 - fme_438668 - ITALIEN - KIRCHENSTAAT - PIE IX. Giovanni Maria Mastai Ferretti) Médaille, Cinquantième anniversaire de l’épiscopat
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 80 € |
Preis : | 18 € |
Höchstgebot : | 25 € |
Verkaufsende : | 01 März 2021 18:37:30 |
Bieter : | 7 Bieter |
Type : Médaille, Cinquantième anniversaire de l’épiscopat
Datum: 1877
Name der Münzstätte / Stadt : France
Metall : Kupfer
Durchmesser : 37,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur PENIN Ludovic (1830-1868),Maison PENIN PONCET
Gewicht : 14,61 g.
Rand Lisse
Punze : sans poinçon
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Superbe exemplaire avec une agréable patine brune et brillante. Bélière d’origine
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite PIVS IX PONTIFEX MAXIMVS.
Beschreibung Vorderseite Buste habillé à droite du pape Pie IX sur fond de petites croix, signé sur le tranché du bras : L. PENIN à LYON.
Rückseite
Titulatur der Rückseite CINQUANTIÈME / ANNIVERSAIRE / DE L’ÉPISCOPAT DE / SS. PIE IX / - / 3 JUIN 1877.
Beschreibung Rückseite Légende en 5 lignes horizontales. Signé : L. PENIN à LYON.
Kommentare
Diamètre sans bélière : 32,5 mm.
Selon l’article de Jean-Pol Donné dans le Bulletin Municipal Officiel de Lyon, « Les Pénin, 170 ans de médailles (1ère partie et deuxième partie)», Ludovic Penin (1830-1868), fils de Marius Penin (1807-1880) et élève de Vibert et Fabisch à l’Ecole des Beaux-Arts de Lyon composera surtout des médailles religieuses et obtiendra d’ailleurs le titre de « graveur pontifical » en 1864. En 1867, Ludovic Penin décide l’acquisition de l’atelier d’estampage de boutons métalliques Mouterde-Billion à Monchat afin de fabriquer les médailles qu’il grave et édite. Ainsi est née la Maison Penin qui a poursuivi son activité sur le même site jusqu’au début du XXIe.
Mais en février 1868, la mort de Ludovic Penin, à l’âge de 38 ans, met en péril cette entreprise. Sur la recommandation de son ami Fabisch, Marius, revenu à Lyon, forma un jeune sculpteur : Alexandre Poncet. En deux ans, Poncet réussit à maîtriser la technique de la gravure en médailles. Dès lors, il se partage entre ses créations propres et la diffusion des médailles issues des poinçons laissés par Marius et Ludovic Penin. La Maison Penin, devenue Penin-Poncet après le mariage d’Alexandre Poncet avec la fille de Ludovic Penin, connait alors une grande prospérité favorisée par l’abandon du privilège de la Monnaie de Paris en 1893.
Selon l’article de Jean-Pol Donné dans le Bulletin Municipal Officiel de Lyon, « Les Pénin, 170 ans de médailles (1ère partie et deuxième partie)», Ludovic Penin (1830-1868), fils de Marius Penin (1807-1880) et élève de Vibert et Fabisch à l’Ecole des Beaux-Arts de Lyon composera surtout des médailles religieuses et obtiendra d’ailleurs le titre de « graveur pontifical » en 1864. En 1867, Ludovic Penin décide l’acquisition de l’atelier d’estampage de boutons métalliques Mouterde-Billion à Monchat afin de fabriquer les médailles qu’il grave et édite. Ainsi est née la Maison Penin qui a poursuivi son activité sur le même site jusqu’au début du XXIe.
Mais en février 1868, la mort de Ludovic Penin, à l’âge de 38 ans, met en péril cette entreprise. Sur la recommandation de son ami Fabisch, Marius, revenu à Lyon, forma un jeune sculpteur : Alexandre Poncet. En deux ans, Poncet réussit à maîtriser la technique de la gravure en médailles. Dès lors, il se partage entre ses créations propres et la diffusion des médailles issues des poinçons laissés par Marius et Ludovic Penin. La Maison Penin, devenue Penin-Poncet après le mariage d’Alexandre Poncet avec la fille de Ludovic Penin, connait alors une grande prospérité favorisée par l’abandon du privilège de la Monnaie de Paris en 1893.