Live auction - fme_623145 - FRENCH CONSTITUTION Médaille, confédération des François
Sie müssen angeschlossen sein und von cgb.fr genehmigt werden, um in einer E-Auktion teilzunehmen.Melden Sie sich an, um zu wetten..Die Kontobestätigungen sind innerhalb von 48 Stunden nach Ihrer Anmeldung gemacht.Warten Sie nicht bis die letzten zwei Tage vor dem Abschluss eines Verkaufs, um Ihre Registrierung abzuschließen. Klickend "BIETEN" verpflichten Sie sich vertraglich, diesen Artikel zu kaufen und Sie nehmen ohne Reserve die allgemeinen Verkaufsbedingungen für den live auctions zu cgb.fr an.
Der Verkauf wird an der Zeit auf der Übersichtsseite angezeigt geschlossen werden. Angebote, die nach der Schließung Zeit empfangen sind, werden nicht gültig.
Bitte beachten Sie, dass die Fristen für die Einreichung Ihres Angebots auf unsere Server können variieren und es kann zur Ablehnung Ihres Angebots entstehen, wenn es in den letzten Sekunden des Verkaufs gesendet wird. Die Angebote sollen mit ganzer Zahl ausgeführt sein, Sie können Kommas oder des Punktes in Ihrem Angebot nicht erfassen. Bei Fragen klicken Sie hier, um einen Blick auf die FAQ Live-Auktionen.
Alle Gewinngebote unterliegen einem Aufschlag von 18 % für Verkaufskosten.
Alle Gewinngebote unterliegen einem Aufschlag von 18 % für Verkaufskosten.
Schätzung : | 100 € |
Preis : | Kein Gebot |
Höchstgebot : | Kein Gebot |
Verkaufsende : | 20 August 2024 16:31:37 |
Type : Médaille, confédération des François
Datum: 1790
Metall : vergoldetes Kupfer
Durchmesser : 39 mm
Stempelstellung : 12 h.
Graveur GATTEAUX Nicolas-Marie (1751-1832)
Gewicht : 116,87 g.
Rand cannelée
Punze : sans poinçon
Seltenheitsgrad : R1
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Exemplaire présentant plusieurs rayures dans les champs du revers. Jolis reliefs. Peu d’usure
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite À L’EXERGUE : A PARIS LE 14 JUILLET / 1790.
Beschreibung Vorderseite La France sous les traits d'une femme couronnée prêtant serment sur la Constitution posée sur un autel inscrit en deux lignes A LA PATRIE.
Derrière l'autel, la Liberté, tenant un drapeau surmonté d'un bonnet phrygien ; à gauche de l'autel, la Félicité assise à gauche, tenant un caducée ailé, sa corne d'abondance à côté d'elle ; derrière, la foule sur le Champ de Mars. Dans le ciel le signe astrologique du lion. Sur la ligne de terre la signature GATTEAUX.
Rückseite
Titulatur der Rückseite CONFÉDÉRATION / DES / FRANÇOIS.
Beschreibung Rückseite Dans une couronne de chêne ininterrompue.
Kommentare
Dimension sans la bélière : 34 mm
Pour cette médaille, Hénin ne distinguait pas moins de cinq modèles différents avec des diamètres variant de 32 à 41 millimètres de diamètre. Les détails de l'iconographie de cette médaille sont fascinants. Le manteau de la France est fleurdelisé ; au-dessus de la France, la Vérité ou la Renommée ouvre le ciel qui éclaire la cérémonie et laisse entrevoir le lion du signe du zodiaque qui débute le 22 juillet. Le drapeau est orné d'une bonne foi. Une population importante assiste à la cérémonie. c'est l'École Militaire dont on aperçoit le dôme dans le champ à gauche. La Fête de la Fédération qui commémore le premier anniversaire de la prise de la Bastille eut un retentissement considérable. Il marquait l'union de la Royauté et de la Nation. La cérémonie religieuse fut dirigée par Talleyrand, alors évêque .
Pour cette médaille, Hénin ne distinguait pas moins de cinq modèles différents avec des diamètres variant de 32 à 41 millimètres de diamètre. Les détails de l'iconographie de cette médaille sont fascinants. Le manteau de la France est fleurdelisé ; au-dessus de la France, la Vérité ou la Renommée ouvre le ciel qui éclaire la cérémonie et laisse entrevoir le lion du signe du zodiaque qui débute le 22 juillet. Le drapeau est orné d'une bonne foi. Une population importante assiste à la cérémonie. c'est l'École Militaire dont on aperçoit le dôme dans le champ à gauche. La Fête de la Fédération qui commémore le premier anniversaire de la prise de la Bastille eut un retentissement considérable. Il marquait l'union de la Royauté et de la Nation. La cérémonie religieuse fut dirigée par Talleyrand, alors évêque .