bpv_316579 - HERENNIA ETRUSCILLA Tétradrachme syro-phénicien
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Artikel auf unserem Online-Shop verkauft (2014)
Preis : 280.00 €
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Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 249
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 26 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 11,89 g.
Seltenheitsgrad : R2
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Pas d’usure, belles surfaces argent, coins un peu mous
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui est le 0609_001 de la base TSP, provient de la trouvaille dite de Pars en 2006
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Buste drapé et diadémé d’Herennia Etruscilla à droite, vu de trois quarts en avant, posé sur un croissant lunaire (L15), trois globules sous le buste.
Legende des Averses ERENNIA ETROUSKILLA SEB
Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Caius Messius Quintus Trajan Dèce auguste).
Rückseite
Titulatur der Rückseite S C À L’EXERGUE.
Beschreibung Rückseite Aigle debout à gauche sur une palme, les ailes déployées, tête à gauche et queue à droite, tenant une couronne feuillée dans son bec.
Legende des Reverses : DHMARC EX OUSIAS
Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne / avec l’accord du Sénat d’Antioche).
Kommentare
Les émissions d’Herennia Etruscilla se divisent en deux légendes, l’une avec un E initial à Etruscilla, l’autre sans.
On peut penser avec certitude que ces deux légendes séparent effectivement deux émissions car les deux légendes se retrouvent dans toutes les officines et, plus important, les styles de portrait sont manifestement de deux graveurs différents.
La légende avec le E initial est la première, et cette émission date donc de 249/250, celle sans le E étant la seconde, donc de 250/251. Nous le savons car il existe pour Etruscilla, émission sans le E, quelques exemplaires de la rarissime émission avec aigle à gauche, tête et queue à droite, point entre les pattes, que l’on ne connaît pour Trajan Dèce que pour sa deuxième émission. Sauf découverte de nouveaux exemplaires inédits, la chronologie semble bien assurée.
La coiffure de l’Augusta suit les canons de la beauté de l’époque et ressemble à celle d’Otacilie, avec des cheveux nattés en rangs serrés se terminant par une tresse qui est relevée derrière la tête. Le diadème semble de rigueur.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, douze exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, dont en sept en musées, ANS, Doura/Yale (2), Berne et Paris (3).
On peut penser avec certitude que ces deux légendes séparent effectivement deux émissions car les deux légendes se retrouvent dans toutes les officines et, plus important, les styles de portrait sont manifestement de deux graveurs différents.
La légende avec le E initial est la première, et cette émission date donc de 249/250, celle sans le E étant la seconde, donc de 250/251. Nous le savons car il existe pour Etruscilla, émission sans le E, quelques exemplaires de la rarissime émission avec aigle à gauche, tête et queue à droite, point entre les pattes, que l’on ne connaît pour Trajan Dèce que pour sa deuxième émission. Sauf découverte de nouveaux exemplaires inédits, la chronologie semble bien assurée.
La coiffure de l’Augusta suit les canons de la beauté de l’époque et ressemble à celle d’Otacilie, avec des cheveux nattés en rangs serrés se terminant par une tresse qui est relevée derrière la tête. Le diadème semble de rigueur.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, douze exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, dont en sept en musées, ANS, Doura/Yale (2), Berne et Paris (3).