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E-auction 109-57970 - bpv_306358 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 58 € |
Preis : | 30 € |
Höchstgebot : | 31 € |
Verkaufsende : | 18 Mai 2015 15:59:00 |
Bieter : | 8 Bieter |
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Datum: 218-220
Name der Münzstätte / Stadt : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metall : Scheidemünze
Durchmesser : 25,00 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 12,56 g.
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Flan étroit mais bien centré, métal apparemment de bonne qualité
N° im Nachschlagewerk :
Pedigree :
Notre exemplaire, qui provient des plateaux d’un marchand ambulant anglais en 1996, est le 0273_017
Vorderseite
Beschreibung Vorderseite Elagabal tête laurée à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Legende des Averses AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
Übersetzung der Vorderseite Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Rückseite
Beschreibung Rückseite Aigle aux ailes à très gros points debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à six rais entre les pattes.
Legende des Reverses : DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Übersetzung der Rückseite (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Kommentare
Les graveurs de revers variés classés entre le Prieur 273 et le 278 essayent de montrer la variété des graveurs de revers pour Elagabal. En ce qui concerne le Prieur 273, il se caractérise par un aigle petit avec de très gros points pour dessiner les plumes des ailes.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, trente-sept exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Glasgow et Jérusalem (2).
The various reverse engravers listed between Prior 273 and 278 attempt to show the variety of reverse engravers for Elagabalus. As for Prior 273, it is characterized by a small eagle with very large dots to draw the wing feathers.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: several obverse dies are found with other reverse engravers. We can therefore assume that all these engravers worked in the same workshop, unless, of course, we one day manage to prove that the obverse dies travelled.. Such traveling dies have been identified in the region for bronzes from this period: again, an analysis of the dies' connections would be essential to understanding the coinage..
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, thirty-seven examples are now listed, including those in museums in Glasgow and Jerusalem (2)
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, trente-sept exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Glasgow et Jérusalem (2).
The various reverse engravers listed between Prior 273 and 278 attempt to show the variety of reverse engravers for Elagabalus. As for Prior 273, it is characterized by a small eagle with very large dots to draw the wing feathers.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: several obverse dies are found with other reverse engravers. We can therefore assume that all these engravers worked in the same workshop, unless, of course, we one day manage to prove that the obverse dies travelled.. Such traveling dies have been identified in the region for bronzes from this period: again, an analysis of the dies' connections would be essential to understanding the coinage..
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, thirty-seven examples are now listed, including those in museums in Glasgow and Jerusalem (2)