E-auction 142-82243 - fjt_235549 - Education and schools Lycée républicain de Paris n.d.
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KEINE ANSCHAFFUNGSKOSTEN FÜR DIE KÄUFER.
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Schätzung : | 120 € |
Preis : | 25 € |
Höchstgebot : | 25 € |
Verkaufsende : | 04 Januar 2016 19:12:00 |
Bieter : | 5 Bieter |
Type : Lycée républicain de Paris
Datum: n.d.
Metall : Kupfer
Durchmesser : 30 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 12,30 g.
Rand lisse
Seltenheitsgrad : R2
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite LYCEE REPUBLICAIN DE PARIS.
Beschreibung Vorderseite dans un grènetis.
Rückseite
Titulatur der Rückseite CONSOCIARE AMAT.
Beschreibung Rückseite Pallas casquée avec cimier, debout à gauche, tenant un niveau et une lance.
Übersetzung der Rückseite Elle aime à unir.
Kommentare
Hennin accorde, page 480, plusieurs pages de commentaires à ce jeton mais ne signale pas l’usage récurrent du type CONSOCIARE AMAT dans les institutions du nouveau régime, où nous voyons une inspiration maçonnique directe.
Concernant cet exemplaire, la qualité de frappe, de métal, de coin, de polissage du coin et de conservation pose problème. En effet, il ne semble pas tardif car le coin est en parfait état et à fleur mais la qualité technique semble impensable pour la période.
Pourtant, le traitement de la tranche pose le problème inverse : alors que les jetons à tranche lisse à partir des années 1840 (sans oublier qu’ils portent poinçon depuis 1831, notre exemplaire n’a pas de poinçon) sont d’une qualité comparable, leur tranche est parfaitement lisse alors que celle de notre exemplaire montrent encore des traces de traitement artisanal à un examen minutieux. Que penser ? Frappe de prestige initiale ? Mais alors pourquoi du cuivre ? Nous espérons qu’un autre exemplaire pourra nous éclairer sur la sate de frappe de notre exemplaire.
La légende de revers est extraite des Odes d'Horace (4.II, od.3, v.10). Ce jeton, qui reprend, en lui supprimant son exergue et sa date, un revers de la série des bâtiments du Roi, a été utilisé comme "jeton banal" par des loges maçonniques trop pauvres pour faire frapper leurs propres jetons. Il est aussi attribué sans preuve aux architectes.
Concernant cet exemplaire, la qualité de frappe, de métal, de coin, de polissage du coin et de conservation pose problème. En effet, il ne semble pas tardif car le coin est en parfait état et à fleur mais la qualité technique semble impensable pour la période.
Pourtant, le traitement de la tranche pose le problème inverse : alors que les jetons à tranche lisse à partir des années 1840 (sans oublier qu’ils portent poinçon depuis 1831, notre exemplaire n’a pas de poinçon) sont d’une qualité comparable, leur tranche est parfaitement lisse alors que celle de notre exemplaire montrent encore des traces de traitement artisanal à un examen minutieux. Que penser ? Frappe de prestige initiale ? Mais alors pourquoi du cuivre ? Nous espérons qu’un autre exemplaire pourra nous éclairer sur la sate de frappe de notre exemplaire.
La légende de revers est extraite des Odes d'Horace (4.II, od.3, v.10). Ce jeton, qui reprend, en lui supprimant son exergue et sa date, un revers de la série des bâtiments du Roi, a été utilisé comme "jeton banal" par des loges maçonniques trop pauvres pour faire frapper leurs propres jetons. Il est aussi attribué sans preuve aux architectes.