v16_0584 - DIADUMENIAN Tétradrachme syro-phénicien

DIADUMENIAN Tétradrachme syro-phénicien VZ

MONNAIES 16 (2002)
Startpreis : 400.00 €
Schätzung : 700.00 €
unverkauftes Los

Type : Tétradrachme syro-phénicien

Datum: 217-218

Name der Münzstätte / Stadt : Arados, Phénicie

Metall : Scheidemünze

Durchmesser : 26 mm

Stempelstellung : 1 h.

Gewicht : 12,85 g.

Seltenheitsgrad : R3

Kommentare zum Erhaltungszustand:

Pas d’usure mais métal poreux et légèrement corrodé, légèrement décentré au revers, faiblesse de frappe sur fin de la légende du droit

N° im Nachschlagewerk :

Prieur 1254 (4 ex.)

Pedigree :

Cet exemplaire est le 1254_001 de la base TSP

Vorderseite

Beschreibung Vorderseite Buste radié, drapé et cuirassé de Diaduménien à droite, vu de trois quarts en arrière (A2).

Legende des Averses AU KAI MAR OPEL. ANTwNINOS, (Autokrator Kaisaros Markos Opellios Antwoneinos)

Übersetzung der Vorderseite (L’empereur césar Marc Opellius Antonin).

Rückseite

Beschreibung Rückseite Aigle debout de face, les ailes déployées, la tête tournée à gauche, tenant une couronne dans son bec ; entre les pattes, protomé de buffle à droite.

Legende des Reverses : DHMARC EX UPATA, (Dhmarcikhs Ex Upatos A)

Übersetzung der Rückseite (Revêtu de la puissance tribunitienne consul).

Kommentare

Même coin de droit que l’exemplaire illustré dans le Prieur. Les tétradrachmes de Syrie, de Palestine ou de Mésopotamie furent frappés en grande quantité lors de la venue de Caracalla au début de la campagne parthique, c'est-à-dire à partir de 215. Après son assassinat, les frappes continuèrent pour Macrin et pour Diaduménien. Dans le cas des séries attribuées à Arados, complexes et comportant différents graveurs, la succession entre les frappes de Caracalla et celles de Macrin et Diaduménien n’est pas évidente d’un point de vue stylistique mais s’appuie sur les continuités de symboles. Le protomé de notre exemplaire montre assez nettement (confirmé par l’animal représenté intégralement sur le revers du Prieur 1252) qu’il s’agit d’un buffle avec une bosse sur le cou et non d’un taureau “occidental”.