fme_945750 - FRENCH CONSTITUTION Médaille, décoration des soldats aux Gardes-Françaises, vainqueurs de la Bastille, refrappe
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Type : Médaille, décoration des soldats aux Gardes-Françaises, vainqueurs de la Bastille, refrappe
Datum: (1789)
Metall : Bronze
Der Feingehalt beträgt : 950 ‰
Durchmesser : 36,5 mm
Stempelstellung : 12 h.
Gewicht : 6,77 g.
Rand lisse + corne 1ARGENT
Punze : corne 1 ARGENT
Kommentare zum Erhaltungszustand:
Patine grise hétérogène, présentant quelques taches noires d’oxydation. Légère usure
N° im Nachschlagewerk :
Vorderseite
Titulatur der Vorderseite LA LIBERTE - CONQUISE - LE - 14 JUILLET - 1789.
Beschreibung Vorderseite En haut, un anneau auquel pendent deux chaînes brisées. Au dessous, un cadenas ouvert avec des bouts de chaînes et deux boulets.
Rückseite
Titulatur der Rückseite IGNORANT NE - DATOS NE - QUISQUAM - SERVIAT ENSES.
Beschreibung Rückseite Une épée passée dans une couronne civique. Corne d’abondance BR à 12 heures.
Übersetzung der Rückseite Ignorent-ils que les armes ont été données contre la servitude?.
Kommentare
Cette médaille en forme de losange (36,5*26 mm en comptant les bouts et bélière), les coins sont bouletés.
Demandé au cours de la séance du 5 août 1789 par Monsieur de La Fayette, elle fut offerte aux sous-officiers et soldats du régiment des Gardes-Françaises, ainsi qu’à quelques officiers de l’état-major de la Garde Nationale Parisienne. Elle fut également offerte au maire de Paris, Bailly, et à Messieurs de Vauvilliers, d’Espegnac, de Sémonville et Dumas. La médaille se portant en or, suspendue à la boutonnière par un ruban tricolore. Le port de cette médaille sera interdit suite au décret de la Convention Nationale du 20 août 1793.
Demandé au cours de la séance du 5 août 1789 par Monsieur de La Fayette, elle fut offerte aux sous-officiers et soldats du régiment des Gardes-Françaises, ainsi qu’à quelques officiers de l’état-major de la Garde Nationale Parisienne. Elle fut également offerte au maire de Paris, Bailly, et à Messieurs de Vauvilliers, d’Espegnac, de Sémonville et Dumas. La médaille se portant en or, suspendue à la boutonnière par un ruban tricolore. Le port de cette médaille sera interdit suite au décret de la Convention Nationale du 20 août 1793.